Le Blog des jardiniers du Louvre-Lens
Le parc du Louvre-Lens est un véritable trait d’union entre le musée et la ville. La paysagiste Catherine Mosbach y a façonné la nature dans une démarche attentive aux évocations du passé et à la préservation d’un écosystème local fragile.
Espace public où chacun doit pouvoir se sentir comme chez lui, ce parc est aussi un site naturel géré selon des techniques respectueuses de la biodiversité et dévoile des richesses parfois surprenantes… Ici, on partage tout avec vous : bienvenue sur le Blog des jardiniers du Louvre-Lens !
Zoom sur le scarabée rhinocéros
Le scarabée rhinocéros est l'un des plus grands coléoptères d’Europe !
Les couleurs des ailes des papillons, à quoi ça sert ?
Zoom sur le plus grand papillon de jour d'Europe et ses magnifiques ailes colorées !
Une maison pour nos hérissons
Souvenez-vous de notre petit hérisson sauvé de la chaleur la patte collée à un chewing-gum, lui et ses amis patientent aujourd'hui dans un nid bien douillet jusqu’au printemps.
L’araignée : l’alliée écologique de votre potager !
Malgré les sentiments qu’elles suscitent, nos petites araignées sont tellement utiles !
Venez jouer à cache-cache avec les écureuils dans le parc !
Le scoop : l’écureuil roux est chez nous !
Nouvelles naissances dans le bois pionnier !
La biodiversité dépend de la richesse des habitats disponibles sur un site. Dans le Parc, il existe une grande variété de milieux d’accueils propices à l’installation de la faune et de la flore. En vous baladant, vous pouvez rencontrer certains des habitants du parc comme le Geai des chênes.
Construire un hôtel à insectes
Dans des espaces de plus en plus urbanisés, les habitats naturels se raréfient, menaçant directement la biodiversité. Avec un peu de créativité, on peut agir de façon positive et offrir à la nature plus d'opportunités de se maintenir. Comme en construisant un hôtel à insectes par exemple !
Vous connaissez l'abeille maçonne ?
L’abeille maçonne est une abeille sauvage. Elle ne vit pas en colonie comme les abeilles domestiques. Plutôt solitaire, elle trouve des cavités pour y pondre, c’est pourquoi elle prospecte autour de nos habitations qui offrent de nombreuses possibilités d’habitat dans les châssis de fenêtres ou de portes.