L’accès au parking de l’Atelier du Cerisier sera limité samedi 10 mai et impossible dimanche 11 mai. L’accès au dépose-minute sera restreint à partir du 7 mai et impossible les 10 et 11 mai.
En savoir plus
Depuis quelques semaines de curieux petits chapeaux pointent de-ci de-là dans le parc, tantôt petits et discrets tantôt grands et fiers ! Solitaires ou en famille, ils subliment les feuilles d’automne de leur couleur varié : les champignons investissent le parc.
Ni animal…ni végétal !
Les champignons sont un groupe d’espèces vivantes bien plus important que ce que nous voyons familièrement autour de nous dans nos parcs et jardins. Ce royaume d’espèce est distinct du monde animal et végétal. Le père de la botanique Théophraste au IIIème Siècle avant notre ère classera les champignons en quatre grands types :
Les champignons poussant sous terre comme les truffes ;
Les champignons en forme de coupe comme les pézizes ;
La partie visible, c’est comme le fruit d’une plante, on le nomme carpophore ou sporophore et les « graines » sont des amas de spores. Souvent invisibles à nos yeux, on peut les voir s’envoler en nuage lorsqu’ils rencontrent le bout de nos chaussures ! Ces fameuses boursouflures blanches des vesses-de loup !
Vesse de loup, clairière du bois pionnier, 2019
Tout un monde sous vos pieds !
Coprinus comatus, Coprin chevelu, bois pionnier 2020
Tout ce petit monde a un point commun : une structure constituée de minuscules corps filamenteux qui s’enchevêtrent dans le sol ou le bois que l’on appelle le mycélium. C’est le corps permanent des champignons, il est composé de filaments appelés hyphes. Ces hyphes se ramifient pour former un réseau fongique qui va se développer.
La forme et la texture du mycélium varient : blanc, translucide, rose jaune ou rose. Il peut se développer concentriquement donnant naissance aux fameux Ronds de sorcière ! Il n’est pas rare que surgisse au petit matin un cercle de champignons, en avez-vous déjà aperçu chez vous ou dans notre parc ? Le folklore local nourrit de nombreuses légendes autour de ces cercles mystérieux qui s’agrandissent d’année en année selon le type de champignon. Elfes ? Farfadets ? Rituels magiques ? Seraient-ils des empreintes du passage de quelques sorcières ? Exauceraient-ils les souhaits formulés en leur centre les nuits de pleine lune ?
Dis-moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es !
On peut classifier les champignons par leur mode de nutrition, ce classement permet d’y voir un peu plus clair sur les types de champignons que vous pouvez rencontrer !
1 – Les saprophytesou saprotrophes , du grec « sapros » putride, sont des décomposeurs. En se nourrissant de la matière organique morte ou en décomposition, ils vont la faire disparaître. C’est ainsi que se recyclent les restes de feuilles, de bois, d’animaux et d’excréments.
2 – Les parasites ont besoin d’un hôte, ils dépendent d’une matière organique vivante (végétaux, animaux, hommes ou même champignons), et peuvent agir sur sa santé.
Fomes fomentarius, l’Amadouvier est un parasite, dit polypore allume-feu dont la poudre séchée est inflammable a été retrouvée dans le Sac d ötzi retrouvé qui a vécu dans le Tyrol à -5000 av.J.C.
3 – Les mycorhizes, du grec « myco » champignon et « rhiza » , vivent en association avec un végétal. Ils sont en symbiose. C’est un échange de bons procédés. Le végétal fournit au champignon les éléments organiques en échange d’eau, et de minéraux…
4 – Les endophytes se développent dans le végétal entier. Ils protègent la plante en produisant des molécules qui peuvent être antibiotiques, insecticides, ou même neurotoxiques pour les herbivores !
Le mycélium : l’internet naturel de la terre
Sujets de nombreuses études, les réseaux de mycéliums et de mycorhizes ne cessent de surprendre les chercheurs. Cette symbiose entre le champignon et le végétal témoigne d’une véritable coopération. Les mycorhizes vont se développer tout autour du système racinaire du végétal pour atteindre un rapport de 1m de racines pour 1000m de filaments mycéliens. La capacité d’exploration de la zone par les poils absorbant des racines est alors multiplié par 10 000 !
Le mycélium établit ainsi une connexion entre les racines des arbres et les arbres entre eux dans un réseau d’échange ininterrompu d’information.
Un sol en bonne santé et propice à la culture contient des champignons, c’est le cas également de votre potager ! Dans les potagers du parc, les différents paillages permettent leur développement et participent à l’équilibre et à la bonne santé de nos légumes. Chez certains pépiniéristes, des arbres sont même vendus avec du mycélium de truffe !
Le saviez-vous ?
Depuis 2400 ans l’Armillaria ostroyae s’étend sur 8,9 Km2 dans la forêt nationale de Malheur dans l’Oregon, sur un mètre de profondeur dans le sol. C’est la plus grosse colonie découverte à ce jour ! Les réseaux peuvent être si dense que chacun de nos pas résonnent dans le mycélium lors de nos baladent en forêt…
A votre tour de découvrir des champignons !
Maintenant c’est à vous de jouer, ouvrez l’œil autour de vous… scrutez votre environnement pour les débusquer ! Les températures douces et l’humidité de l’automne en font évidement la saison idéale pour les débusquer. Ils apparaissent autour de nous parfois en une nuit !
Où les trouver ?
Là où ils poussent…C’est le support de culture qui définit en majeure partie le type de champignon. Vous les trouverez ainsi aux pieds des arbres, sur les branches et les rameaux tombés au sol, dans les herbes, les amas de feuilles en décomposition. Munissez vous d’un appareil photo et d’une loupe, vous pourrez observer et photographier les spécimens les plus petits en plaçant la loupe devant l’objectif. Avec un peu d’entraînement explorations seront de plus en plus aguerries !
Petits spécimens poussant sur les murs végétalisés de la rue Paul Bert
Comment l’identifier et que regarder ?
Sur le site, on déterminera le type de substrat, c’est à dire la matière sur laquelle le champignon s’est développé, son odeur et sa couleur. Une photographie de la zone avec d’autres champignons à divers stades de développement peuvent-être fort utiles pour l’identification.
A-t-il un chapeau ? quel est son diamètre ? sa couleur ? est-il craquelé ? Gluant ou collant ? strié ?
Ses lames : Sont-elles denses ? attachées au chapeau ? leur couleur ?
Son pied : hauteur ? diamètre ? couleur et texture ? Un anneau des écailles ?
Sa chair : change-t-elle de couleur à la cassure ? en séchant ?
Les clés d’identifications sont nombreuses, vous pourrez les découvrir dans de nombreux ouvrages et auprès de professionnels. Certains champignons se ressemblent beaucoup, c’est pourquoi certaines précautions sont à prendre. Au-delà des qualités gustatives c’est un univers totalement passionnant qui ravive des sentiments d’étonnement et d’émerveillement quand on se trouve devant un spécimen remarquable !
Strophaire aeruginosa, strophaire et son chapeau bleu gluant
Quelques conseils pour vos sorties champignons
Ne jamais manger un champignon sans avoir vérifier sa comestibilité auprès d’un professionnel
Toujours se laver les mains après avoir touché un champignon,
Porter des gants pour manipuler les vénéneux
Ne pas mélanger les champignons dans votre panier
Amanita muscaria, Amanie tue-mouche, bois pionnier 2020
L’automne est une saison propice à la promenade et la contemplation de la nature de notre beau parc. Avec les couleurs changeantes des feuilles, de l’eau et du ciel qui se reflètent sur le musée, nous ne pouvons que vous inviter à nous rendre visite ! Ici, chaque promenade révèle son lot de surprises, et en ce moment vous pouvez croiser de nouveaux amis qui feront fondre les cœurs des petits et grands !
Le scoop : l’écureuil roux est chez nous !
C’était presque devenu une légende. Depuis l’ouverture du parc il y a 8 ans, nous avions eu des témoignages de nos voisins concernant la présence de ces petites peluches rousses. L’incertitude planait depuis quelques temps mais un jardinier de notre équipe est tombé nez à nez avec un petit énergumène qui jouait au funambule au niveau du parking Jean Jaurès : un écureuil roux ! Cette rencontre nous réconforte grandement. Nous savions que les écureuils étaient implantés dans la région mais ils se manifestent beaucoup plus rarement dans les zones urbanisées. Ce n’était qu’une question de temps, et c’est chose faîte ! Indubitablement notre zone boisée et les jardins environnants ont joué leur rôle de corridor écologique, et une nouvelle fois cela nous conforte dans nos actions !
Quelques infos utiles sur notre écureuil
L’écureuil d’Eurasie ou Ecureuil roux ( Sciurus vulgaris) pèse environ 600g et peut mesurer jusqu’à 25cm , et presqu’autant pour sa queue en panache qui l’équilibre dans ses mouvements . Son pelage du rouxau brun noir contraste avec le blanc de son ventre.
Il est arboricole, se nourrit de fruits secs comme les glands, les noix, noisettes ou châtaignes de notre parc, et s’adapte à l’alimentation disponible sur le site comme les écorces, baies, bourgeons, fruits, fleurs et même insectes et escargots.
Il peut parcourir jusqu’à 12 km dans sa quête du lieu idéal pour se reproduire. Son nid est discret dans les plus hautes branches des arbres, et la femelle est capable d’avoir deux portées annuelles, jusqu’à 6 individus !
L’écureuil roux que nous avons observé bénéficie du statut d’animal protégé.
Et non l’écureuil n’hiberne pas !
Dans l’imaginaire collectif, l’écureuil est le mammifère par excellence qui va faire ses réserves pour l’hiver, sautillant d’arbres en arbres, ramassant tout ce qu’il peut avant de prendre un bon repos mérité jusqu’à la belle saison. Alors oui, notre cher ami va faire des réserves mais non il ne s’apprête pas à hiberner !
Certes son activité sera moindre, mais son pelage va s’adapter au froid. Si vous êtes attentif en hiver, vous distinguerez que ses oreilles vont se garnir de poils et former un pinceau sur la pointe ! Bien pratique ces cache-oreilles naturels, nous jardiniers n’avons pas cette chance ! Ses réserves lui servent à puiser l’énergie suffisante pour affronter la chute des températures et aussi à combler tout ce qu’il dépense à sauter agilement partout.
Comment les repérer ?
L’environnement est-il propice à l’installation d’une famille écureuil ?
Notre parc offre le gîte et le couvert ! Le bois pionnier est préservé, quelques allées sont dédiées au cheminement des promeneurs mais le reste est restitué à l’équilibre naturel. Dans le parc, nous avons des chênes, des châtaigniers, des noyers et un bassin doté d’une plage idéale pour étancher la soif de la faune.
Observer avec discrétion
Pour ne pas les effrayer, marchez à pas de loup. Puisqu’il vit le jour, il est facile pour nous de les croiser les jours d’hiver quand les arbres se dégarnissent, de préférence en début ou fin de journée. Soyez attentifs et observateurs !
Trouver des traces et des indices :
Quelques petits indices vous permettront de repérer leur présence :
Des restes de repas, comme des coques de noix ou des pommes de pin, au pied d’un arbre peuvent vous mettre la puce à l’oreille. Contrairement au mulot qui dévore tout, l’écureuil décortiquera la pomme. Les cachettes de leurs provisions aux pieds ou dans les fourches des arbres, à l’abri sous la mousse et les branchages. Des empreintes à pelote avec griffes et mains.
Empreinte avec griffes et mains
Vous avez croisé un écureuil ?
Participez à la campagne d’observationdu Muséum d’histoire naturelle en remplissant ce formulaire
Vous contribuerez à l’enquête nationale et donc à une meilleure connaissance des territoires et des espèces d’écureuil que vous seriez susceptible de rencontrer. Vous trouverez sur leur site les observations datées autour de chez-vous. Une campagne a déjà été menée dans le Nord-Pas-Calais entre 2009 et 2011, soutenue par la CMNF (La Coordination mammologique du Nord de la France) sous le nom de Ch’ti écureuil. Elle a permis de dresser une carte très instructive grâce à 2815 observations !
Partagez-nous vos observations !
Si d’aventure vous croisez nos amis dans le parc, n’hésitez pas à nous partager vos photos et la localisation afin de nous aider à mieux connaître leurs habitudes et à les préserver !
« L’automne est un deuxième printemps où chaque feuille est une fleur. »
Albert Camus
Cerisiers flamboyants
C’est la star du moment, la feuille d’automne. Elle dévoile tout son pouvoir chromatique en se pigmentant avec force, tantôt flamboyante, tantôt ocre, elle joue et sur-joue de sa saturation colorimétrique. Les allées se couvrent de l’or des bouleaux et des hêtres et les cerisiers dégorgent de rouge. L’automne s’affirme devant l’approche de l’hiver, il nous déballe le tapis rouge, et même plus !
Pourquoi les feuilles changent-elles de couleur ?
Au printemps, la croissance des végétaux s’active, les feuilles se gorgent de chlorophylle pour absorber les rayons du soleil et les redistribuer en énergie lors de la photosynthèse.
C’est le plein d’énergie pour assurer le développement du végétal. C’est la chlorophylle qui donne cette teinte verte aux feuilles. Quand l’automne arrive, la luminosité et la chaleur décroissent et avec elles la concentration de chlorophylle. C’est donc d’autres pigments, toujours présents, qui se révèlent comme la carotène (ce fameux orange des carottes !) ou le xantrophylle (jaune).
Feuille rouge : stop pour les parasites…
La coloration rouge est tout à fait particulière, elle agit comme un véritable feu tricolore à destination des parasites comme les pucerons. En effet, les colorants naturels que sont les anthocyanines rouge/orangés se dévoilent exclusivement à l’automne pour prévenir de la toxicité du végétal. Les futures larves de parasites les épargneront de fait de leur voracité au printemps.
La teinte rouge permet d’enrayer l’homochromie de certains insectes ravageurs verts. L’homochromie est la capacité de se camoufler dans la végétation, si l’insecte est vert et que la végétation passe au rouge le camouflage ne fonctionne plus ! Mis à découverts la régulation des parasites se fait naturellement par le système de prédation des oiseaux par exemple.
Les feuilles s’envolent à la pelle…
Une fois asséchées, les feuilles se détachent des arbres et recouvrent le sol limitant son exposition au froid hivernal. Elles tapissent la végétation et la protège de la chute des températures et du vent glacial.
Cette couverture végétale va abriter bien au chaud des animaux comme les hérissons, qui se nichent pour hiberner dans les amas de feuilles et de branchages, et la micro-faune qui se nourrit de toute cette matière organique.
Le travail des insectes décomposeurs et des champignons va créer de l’humus, une terre bien riche mélangée et enfouie par nos petits travailleurs du sol que sont les vers de terre. Toute cette nourriture toute fraîche va alimenter les arbres en atteignant leurs racines. La boucle est bouclée !
Que faire avec vos feuilles dans votre jardin ?
Dans le parc nous évacuons les feuilles des allées piétonnes car elles sont des sources potentielles de chutes, nous les recyclons ainsi directement sur le site, et comme nous vous pouvez à votre échelle les réutiliser ! Comment ?
• En paillant vos massifs et vos potagers
• En couvrant des branchages pour faire nicher les hérissons
• En le mélangeant à votre compost pour apporter de la matière carbonée (lien compost)
Une petite promenade automnale dans notre parc, ça vous tente ? Alors n’hésitez plus et partagez-nous vos photos !
Les feuilles rivalisent avec les écorces des cornouillers
Vous pouvez utiliser notre site et notre application sans avoir à décliner votre identité ni fournir des informations personnelles vous concernant. Cependant, vous pouvez être amené(e) à fournir des informations personnelles dans le cadre du formulaire de contact ou d’abonnement à la newsletter.
Collecte des données à caractère personnel :
Vos données personnelles peuvent être collectées lors de la navigation sur ce site Internet.
De même, les messages électroniques envoyés au Louvre-Lens et les adresses électroniques utilisées pour l’envoi d’informations complémentaires sont susceptibles d’être conservées.
Les informations recueillies à travers notre site et notre application font l’objet d’un traitement informatisé.
Les informations personnelles recueillies sur la base de votre consentement sont vos :
– Prénom
– Nom
– Adresse électronique
– Numéro de téléphone
Le Louvre-Lens s’engage à ce que la collecte et le traitement de vos données soient conformes au Règlement Général sur la Protection des Données du 27 avril et à la loi Informatique et Libertés modifiée du 6 janvier 1978.
Les durées de conservation sont définies de manière proportionnées aux finalités.
Droits
Conformément au RGPD et à la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement des données vous concernant. Vous pouvez exercer ces droits en vous adressant au délégué à la protection des données en cliquant ici. Si vous estimez, après nous avoir contactés, que vos droits sur vos données ne sont pas respectés, vous pouvez adresser une réclamation auprès de la CNIL.
En application des articles 38, 39 et 40 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez, gratuitement, d’un droit d’accès, de rectification, de modification et d’opposition aux données qui vous concernent ou concernent les personnes décédées dont vous êtes les ayants-cause. Si vous souhaitez exercer ce droit vous pouvez vous adresser à la rédaction du site par courrier à l’adresse ci-dessus.
En tant que consommateur, vous avez la possibilité de vous inscrire sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique BLOCTEL.
Liens hypertextes :
Le site du musée du Louvre autorise la mise en place d’un lien hypertexte pointant vers son contenu dès lors qu’il ne crée pas de confusion sur la source des services et/ou contenus produits et/ou détenus par le musée du Louvre-Lens et sous réserve de :
ne pas utiliser la technique du lien profond (« deep linking »).
mentionner la source qui pointera grâce à un lien hypertexte directement sur le contenu visé.
Les informations utilisées ne doivent l’être qu’à des fins personnelles, associatives ou professionnelles ; toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est exclue.
Attention ! Cette autorisation ne s’applique pas aux sites internet diffusant des informations à caractère polémique, pornographique, xénophobe ou pouvant, dans une plus large mesure porter atteinte à la sensibilité du plus grand nombre ; et aux sites internet portant atteinte aux intérêts matériels ou moraux du musée du Louvre-Lens.
Cookies :
L’utilisateur est informé que lors de ses visites sur le site un cookie peut s’installer automatiquement sur son logiciel de navigation. Le cookie est un bloc de données qui ne permet pas d’identifier les utilisateurs mais sert à enregistrer les informations relatives à la navigation de celui-ci sur le site. Le paramétrage du logiciel de navigation permet d’informer de la présence de cookie et éventuellement, de la refuser de la manière décrite à l’adresse suivante : www.cnil.fr. L’utilisateur dispose de l’ensemble des droits susvisés s’agissant des données à caractère personnel communiquées par le biais des cookies dans les conditions indiquées ci-dessus.
Collecte des données à caractère personnel :
Vos données personnelles peuvent être collectées lors de la navigation sur ce site Internet ou lors de la soumission des formulaires.
Pour modifier ou supprimer vos informations personnelles, veuillez faire la demande sur notre formulaire de contact.
Cookies strictement nécessaires
Cette option doit être activée à tout moment afin que nous puissions enregistrer vos préférences pour les réglages de cookie.
Ce site utilise les cookies supplémentaires suivants :
YouTube : nous incorporons des vidéos ou insérons des liens vers des vidéos de YouTube sur notre site Web. En conséquence, lorsque vous visitez une page avec un contenu incorporé depuis ou lié à YouTube, vous pouvez rencontrer des cookies en provenance de ces sites Web.
Issuu : qui permet de reconnaître l’appareil de l'utilisateur et quels documents ont été lus sur la page Accessibilité.
QuantServe : qui recueille des données sur les visites de la page Accessibilité. Les données enregistrées sont utilisées pour des annonces publicitaires ciblées.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.
Cookies tiers
Ce site utilise :
Google Analytics, Google Tag Manager et Google DoubleClick pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs du site et les pages les plus populaires.
Garder ce cookie activé nous aide à améliorer notre site Web.
Veuillez activer d’abord les cookies strictement nécessaires pour que nous puissions enregistrer vos préférences !
Politique de Cookies
Pour plus d'informations sur la Politique de Cookies, rendez-vous sur nos Mentions Légales.