Dimanche 19 mai, en raison de La Route du Louvre, les accès au musée sont modifiés. La rue Paul Bert ne sera pas accessible aux véhicules. Nous invitons nos visiteurs et visiteuses à emprunter le parking Jean Jaurès de Liévin (62800), accessible depuis la rue du Dr Piette.
Musée fermé
Parc ouvert jusqu'à 21:00
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La Vierge et l’Enfant

Jacques Sarazin
Noyon (France), 1592 – Paris (France), 1660
La Vierge et l’Enfant
Vers 1640
Terre cuite
H. 49 ; l. 24 ; pr. 37 cm
Paris, musée du Louvre
RF 2979
Don de F. Heim, 1972

La statuette a été identifiée comme une œuvre de Jacques Sarazin par comparaison avec une gravure de Pierre Daret (1640) portant le nom du sculpteur. La légende de l’estampe semble exprimer le reproche de la Vierge adressé à l’Enfant : « Victor ne sperne coronam » (« Vainqueur, ne repousse pas la couronne »).

Pierre Puget
Marseille (France), 1620 – Marseille (France), 1694
Christ mourant sur la Croix
Vers 1660-1670
Terre cuite
H. 85 ; l. 49 cm
Paris, musée du Louvre
RF 3621
Achat, 1982

Espagne
Saint François mort
Vers 1650
Bois peint, verre, os et chanvre
H. 1,03 ; l. 0,64 m
Paris, musée du Louvre
RF 4211
Achat, 1988

Jacques Sarazin
Noyon (France), 1592 – Paris (France), 1660
Cénotaphe du cœur du cardinal Pierre de Bérulle (1575-1657)
1653-1657
Marbre
H. 1,25 ; l. 0,80 ; pr. 1,35 m
Paris, musée du Louvre
RF 1430 A
Provenant du musée des Monuments français

Charles Le Brun
Paris (France), 1619 – Paris (France), 1690
Sainte Marie-Madeleine renonçant aux vanités du monde
1654-1657
Huile sur toile
H. 2,52 ; l. 1,71 m
Paris, musée du Louvre
INV 2890
Collection du Muséum central des Arts

La Légende dorée (13e siècle) de Jacques de Voragine, qui raconte l’histoire des saints, évoque à la fois la richesse et la beauté de la jeune femme, identifiée à Marie de Béthanie, sœur de Marthe et de Lazare, et Marie de Magdala, disciple de Jésus qui assiste à sa Crucifixion et sa Résurrection : « Autant Madeleine était riche, autant elle était belle ; et elle avait si complètement livré son corps à la volupté qu’on ne la connaissait plus que sous le nom de Pécheresse (traduction par T. de Wyzewa, Perrin et Cie, 1910). »

Florence, Italie
Plateau de table à décor floral
1668
Mosaïque de marbre et pierres dures
H. 1,24 ; l. 0,77 m
Paris, musée du Louvre
OA 12436

Iran ou Turquie
Coupe aux oiseaux et au décor végétal
Vers 1600-1800
Cristal de roche, décor d’or, d’émail et de pierres de couleur
H. 33 cm
Paris, musée du Louvre
MR 334
Achat, 1806

France
Bassin décoré d’un serpent, de poissons et de lézards
Vers 1600
Terre cuite vernissée
H. 53 ; l. 40 cm
Paris, musée du Louvre
MR 2293
Achat, 1825

La production de ce type de pièces de vaisselle d’apparat dites « à rustiques figulines » se poursuit après la mort de son inventeur, le céramiste Bernard Palissy (vers 1510-1590). En recourant au moulage direct sur nature et aux glaçures colorées, le créateur de ce bassin est parvenu à donner l’illusion d’un bassin grouillant de vie.

Inde
Corne à poudre
Vers 1600-1800
Jade, or et pierres
H. 14,9 ; l. 3,5 cm
Paris, musée du Louvre
R 438
Legs de la baronne Salomon de Rothschild, 1922